Skip links

Glaguel ou l’usage chrétien de l’allégorie fantastique

Cette semaine, Pascal et Guillaume reçoivent Lili Cyr-Robillard, à l’occasion de la sortie de son livre jeunesse, “Glaguel : la rivière interdite”.

Dans la lignée des C.S. Lewis et J.R.R. Tolkien, Lili fait usage de l’allégorie fantastique pour exprimer des vérités chrétiennes profondes. Oui mais voilà, depuis l’origine, ce genre est profondément décrié, et certains affirment que ce style devrait être banni de la littérature chrétienne.

Nous avons donc posé à Lili les questions suivantes :
(1) Comment en es-tu arrivé à écrire un tel ouvrage ?
(2) En quoi Glaguel fait-il usage du style fantastique ?
(3) L’allégorie chrétienne et le fantastique font-ils bon ménage ?
(4) Quels ont été les retours ?

Prenez donc le temps d’écouter ce 13ème épisode de Coram Deo, et faites nous part de vos réactions !

Abonnement : iTunes Google Stitcher SoundCloudFeed


Épisode précédent : 012 – Une alliance plus excellente
Épisode suivant : 014 – Peut-on légitimement quitter son Église?

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

  1. Post comment

    André Pardoën. says:

    Je ne crois pas personnellement qu’il soit utile de faire de l’allégorie fantastique, dont l’origine est plus la mythologie païenne, pour faire connaître l’Evangile. L’évangile n’est pas une allégorie. Contrairement à certains chrétiens je n’ai jamais discerné le Salut dans les films comme Narnia ou le Seigneur des anneaux. Mais je manque peut être d’intelligence! Que Melle Cyr le pense est normal puisque elle écrit. Mais je suis plus réservé sur l’approche de Mr Bourrin. C’est peut être parce que les Francais sont toujours plus ou moins attirés par les légendes qui ne manquent pas dans notre beau Pays de France. Quant à la comparaison de Narnia ou du Seigneur des anneaux, rien à voir avec la belle allégorie de JohnBunyan. Je vais passer pour étroit mais je ne vois pas Paul partir pour une contrée avec Narnia dans ses valises pour précher l’évangile. Et plus près de nous , je me demandes ce qu’un chrétien comme C. Spurgeon en penserait! Il aurait sûrement à cet égard une répartie dont il était passé maître pour redresser les idées un peu farfelues qui s’écartaient de la folie de la Croix.

×